Bonjour
Lundi, souvenez-vous de ce beau temps bien sympathique qui courait dans le ciel alsacien. Tôt le matin, il faisait bien frais, j'avais fait une promenade d'une heure pour chercher ma voiture au garage, le manteau était de rigueur! Et la journée s'est vite annoncée radieuse.
En début d'après-midi, je sortis me balader en ville. J'enfilais donc mon gros manteau, mon écharpe (j'étais malade), mes chaussures et partis gaiement à la rencontre des pistes piétonnes. Mais, rapidement, comment vous dire...j'avais bien chaud. Quand je sortais de mon immeuble, j'avais légèrement froid. En marchant, forcément, le corps chauffe, ha ha ha! Je croisais pourtant des cyclistes en gros manteau comme moi, des piétons en gros manteau aussi...comme moi... Bref, je me disais qu'il ne devait pas faire si chaud que ça! Ben si, si si! Je me sentais bien cruche parmi toute cette foule de personnes qui, elles, étaient en tenue plus légère. Remarquez, on pouvait penser que j'étais arrivée en ville dès le matin (rappelez-vous qu'il ne fait jamais très chaud au petit matin, en avril)..Ce qui justifiait le gros manteau. Quoi que, je devais appartenir à la minime majorité de personnes qui le portait...le dit gros manteau! Les personnes du matin avaient simplement ôté une couche d'habit. Même pas solidaires! Ce que je n'ai pas eu la jujotte de faire, moi... Mais, bon vous comprenez, le temps que ça monte jusqu'au cerveau... (ça fait un détour par les pieds chez moi)
Finalement, arrivée à la fin de mon périple, la grande Virginie se décide à mettre le manteau sous le bras. Sauf qu'il pèse lourd sous le bras (le manteau). Rentrés chez moi, je n'ai pû que reprendre une douche, forcément.
Virginie